élevage Laitier Strasbourg Près De Moi

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Les racines de la ferme Saint-Ulrich sont profondément ancrées dans son terroir : ses origines remontent à 1879. Ainsi, depuis plus de 140 ans, six générations d’éleveurs vouent leur existence à la production de lait. Et si les méthodes ont bien changé, l’enthousiasme reste intact.

À l’approche du XXIe siècle, la ferme Saint-Ulrich franchit un cap décisif : en 1985, elle se lance dans la transformation de yaourts. Elle peut ainsi se prévaloir d’un savoir-faire qui repose maintenant sur trois générations.

C’est en 1992 qu’est érigée la première étable en libre-circulation des animaux, avec traite, matin et soir. La construction du premier atelier de transformation date de cette époque.

2014 voit sortir de terre une nouvelle étable. Ce bâtiment, spacieux et lumineux, privilégie le bois pour une meilleure intégration dans son environnement, met l’accent sur le confort des animaux qui peuvent circuler librement et facilite le travail des éleveurs, grâce à la traite robotisée. Car le bien-être des animaux et des hommes reste une priorité.


Un nouvel atelier de transformation, plus grand et mieux équipé, vient compléter cet investissement qui propulse la ferme Saint-Ulrich dans une nouvelle ère.

Et demain ? Notre ambition est de continuer dans cette démarche de respect de l’environnement et du bien-être animal. Mais aussi de satisfaire au quotidien nos clients grâce à la qualité de nos produits, ainsi qu’à notre sens de l’innovation.

Parce que le respect de l'environnement fait partie intégrante de nos valeurs, aujourd'hui cet

De Niveau 3. Ce haut niveau d'exigence est fondé sur des indicateurs de

Résultats relatifs à la biodiversité, la stratégie phytosanitaire, la gestion de la fertilisation et de l’irrigation.

4worldlovers: Installé depuis 2010 à Landersheim, sur la ferme laitière familiale d’une soixantaine de vaches, Christophe Diss, 35 ans, vient d’entamer, en octobre dernier, la conversion de son exploitation à l’agriculture biologique. Un choix réfléchi, même si l’État a annoncé la suppression d’une partie des aides financières jusqu’alors versées aux exploitants bio.

« C’est un nouveau départ », assure Christophe Diss. Éleveur laitier à Landersheim, il se dit « serein » quant à la conversion de son exploitation en bio. « Sinon je ne me serais pas lancé dans cette aventure », sourit-il.

Bien dans ses bottes et au clair dans ses choix, cet ingénieur agronome a décidé, en 2010, de reprendre l’exploitation laitière familiale comptant une soixantaine de vaches. « J’ai quitté mon poste de conseiller agricole à la chambre d’agriculture du Haut-Rhin pour devenir gérant de l’Earl du Buebelskraut. » Un « challenge personnel ». « J’ai toujours souhaité m’investir dans l’exploitation familiale. »

Son père s’était lancé dans la production de lait dans les années 70, sur une exploitation de 85 hectares. « Quand je me suis installé, j’ai décidé d’investir a minima et de rester dans le bâtiment d’origine, mis aux normes, la filière étant en plein chamboulement. » Un choix qui permettait de « se préparer à un changement de stratégie ».

« Il vaut mieux investir dans un marché en pleine croissance que dans un marché volatile »

« Le bâtiment dans lequel je produis mon lait a été construit en 1986 pour une production minimale de 300 000 litres de lait par an. Aujourd’hui, on produit 620 000 litres. Nous avons doublé notre production à structure constante. » Reste que « la limite technique des gains de productivité est désormais atteinte ». Par ailleurs, il indique : « En 2018, mon exploitation allait arriver à un tournant. Je devais faire un choix : arrêter ou continuer l’élevage de vaches laitières. »

Or, pour lui, l’arrêt de la production laitière supposait l’arrêt de l’activité. « Je suis persuadé que produire du végétal sans l’animal est plus difficile et néfaste pour la fertilité à long terme du sol. Et puis, ces dernières années, j’ai acquis un certain savoir-faire par rapport à l’exploitation et à l’élevage de vaches laitières. » Un savoir-faire sur lequel il compte capitaliser.

Il a connu les crises laitières ou encore la fin des quotas laitiers et il porte un regard sans concession sur la filière laitière conventionnelle. « Produire un lait non différencié, en concurrence déloyale, souvent en surproduction avec des rapports de force sur le prix et dont le mode de production fait de plus en plus débat au niveau sociétal ne m’intéressait plus ». Par ailleurs, « investir lourdement suppose d’investir sur un marché en création de valeur. Si vous investissez beaucoup pour produire plus, mais que dans le même temps tout le monde fait de même, le prix baisse plus vite que le volume n’augmente et l’on se retrouve avec une baisse de la valeur ajoutée. »

Il reconnaît cependant : « Ce phénomène existe aussi dans la fillière bio. Mais comme le marché est en pleine croissance et que les perspectives de transformation et de valorisation sont réelles sur le plan national, on peut plus facilement faire confiance et avoir une perspective. Il vaut mieux investir dans un marché en pleine croissance que dans un marché volatile. »

Ces réflexions faites, il décide d’entamer, à 35 ans, la conversion de son exploitation. « Ma coopérative laitière a développé une collecte bio depuis plusieurs années. C’était une option parmi d’autres. Le choix du bio n’est pas un choix de mode, c’est un choix stratégique. Nous travaillons sur ce projet depuis plusieurs années, et cela reste une prise de risque car il y va y avoir des investissements. »

En phase de conversion depuis le 1er octobre, l’éleveur laitier doit s’adapter à des pratiques nouvelles : utilisation d’engrais dits verts, nouvelle alimentation pour les animaux, autre façon de travailler. Il prévoit qu’« en 2018, 100 % des terres agricoles seront en conversion et le lait sera qualifié bio à compter de 2020 ».

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Petite place fort sympathique. Quand c'est l'heure de la traite, on a même le droit a un petit cours... Le magasin propose du très bon fromage fait sur place. Super accueil, bravo aux agriculteurs qui partagent leurs travail et passion...

Nous avons visité la chevrerie avec un bébé de 2 ans. La visite est gratuite. 16h30 a l'heure de la traite l'exploitant présente ses bêtes, propose une dégustation aux enfants et répond au questions. De nombreuses chèvres bien sûr mis aussi poney, and, bouc, vaches, oies et autres habitants de la basse cour. Vente des fromages sur place, confitures et miels. Une bonne sortie pour les petits.

Nous y étions en famille cet après-midi et avons tout simplement adoré !! Le propriétaire est très pédagogue et avenant. Le fromage acheté à la boutique est excellent. Bravo !

4worldlovers: Bienvenue à la Ferme du Bruehl, notre élevage de vaches laitières à Eckwersheim.

Depuis 1994, nous vous accueillons sur notre exploitation, où vous pourrez découvrir notre métier de producteur de lait, céréales et viande bovine.


Nos animaux sont élevés suivant un cahier des charges sans OGM, et nous assurons la production des aliments 100% végétale de nos bêtes, pour vous offrir des produits de qualité, dans le souci du bien-être de nos animaux.


Notre exploitation produit également des céréales, tels que blé et maïs, mais également des betteraves sucrières qui seront transformées à la sucrerie d’Erstein.

Nous proposons aussi notre activité de ferme pédagogique et découverte, avec la possibilité de visiter notre ferme, y fêter son anniversaire ou encore organiser des moments de convivialité dans un cadre unique.


Notre démarche d’ouverture et de partage se reflète aussi dans nos manières de travailler, notamment en ce qui concerne note parc matériel. En effet, depuis 2008, notre ferme a rejoint une Coopérative d’Utilisation de Machines en Agricoles, qui nous permettent de partager des engins agricoles entre plusieurs exploitations.


PRODUCTEURS DE LAIT ET DE VIANDE DE BŒUF DANS L’EUROMETROPOLE DE STRASBOURG !


La Ferme du Bruehl produit depuis près de 25 ans un lait de qualité afin de satisfaire les petits et les grands. Retrouvez le bon gout du lait cru d’antan, sans traitement thermique ni additifs, en venant acheter votre lait directement à la ferme !


Nous sommes engagés dans une démarche qualité garanties zéro OGM pour la coopérative Alsace Lait, et assurons une production respectant les normes sanitaires conformément à la réglementation, en assurant régulièrement des analyses de contrôle de la qualité de notre lait.


Depuis 2020, découvrez également chaque mois nos colis de viande bovine, dont la composition varie selon les saisons. Savoureuse et peu grasse, notre viande est proposée découpée par un boucher, et présentée sous vide, ce qui assure une conservation optimale, et une congélation facile.

La Ferme du Bruehl est aussi un lieu d’exception pour une sortie en famille ou entre amis mais aussi un lieu d’apprentissage pour les écoles, dans le cadre de visites pédagogiques.

Un anniversaire à fêter ? Un séminaire à organiser ? Offrez-vous un lieu décalé et dépaysant ! Nous mettons tout en œuvre pour que le moment soit inoubliable

Nous sommes de 3 associés. La famille BAUER, historiquement implantée dans le village d’Eckwersheim, assure une production laitière depuis 3 générations.

Notre exploitation dans sa forme actuelle a été née en 1994, de la réunion de 2 fermes : la ferme de la famille BAUER, dont Fabien le fils a repris l’activité, et celle de son cousin, l’exploitation de la famille OLTZ. C’est Jean-Georges qui représente cette branche familiale aujourd’hui.

La réunion de ces exploitations a donné naissance à un GAEC (Groupement Agricole d’Exploitation en Commun), qui n'a cessé de s'agrandir depuis, avec l’arrivée de Fabrice PRIMMER en 2009.

Nous sommes aujourd’hui 3 exploitants associés pour vous offrir le meilleur de nos vaches !

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Située à Eschau, à 12 km au sud de Strasbourg, la ferme du Loeb est une exploitation familiale produisant du lait depuis plusieurs générations. Notre élevage se compose de 130 bêtes dont 65 vaches laitières.